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Gestion Et Contrôle Des Risques : La Belle Ou La Bête ?

Presenter/s: 
Geremew Tadele, FCCA, CIA, CGAP, CCSA, CRMA Head of Internal Audit, African capacity Building Foundation
Venue: 
2 Fairbairn Drive Mt. Pleasant, ACBF Boardroom
Date: 
14 mar, 2014
Time: 
11:00 – 13:00 Hrs.


Résumé

Le risque est parfois perçu comme la survenue d’événements contraires et négatifs qui rendent une organisation vulnérable. En raison des différentes perspectives et façons de réagir à l’égard des risques, le processus de gestion des risques est parfois considéré comme un élément qui n’encourage pas les innovations et qui ne pousse pas à saisir les opportunités qui se présentent. De même, le contrôle interne est considéré comme un ensemble de processus et de procédures « monolithiques » qui doivent être respectés dans une organisation, indépendamment des changements liés à  l’environnement institutionnel. On considère parfois ce contrôle comme une contrainte vis-à-vis de l’efficience, de la vivacité intellectuelle et de la flexibilité pour explorer de nouvelles possibilités.

La présente communication montre clairement que le risque concerne essentiellement l’impact de l’incertitude de l’avenir, impact qui peut faire dévier le résultat attendu, de façon positive ou négative. Un des aspects du risque est son impact positif que constitue la possibilité de la création ou de la préservation de la valeur pour une organisation (le bon côté du risque), tandis que l’autre aspect est constitué de menaces à la réussite qui diminuent la valeur de l’organisation (le mauvais côté du risque).

Au sein d’une organisation, les objectifs et les risques sont interdépendants. Les uns ne sauraient exister sans les autres. Ainsi, la gestion des risques n’est pas une question de choix pour les organisations mais plutôt une composante essentielle des pratiques de gestion. La gestion des risques permet non seulement de répondre aux menaces qui entravent le chemin du succès, mais aussi de prendre des risques de manière consciente. En outre, elle encourage  l’innovation. D'autre part, l’on devrait évaluer le contrôle interne essentiellement par sa contribution à la gestion des risques et à l’atteinte des objectifs de l’organisation. Le contrôle interne, lorsqu’il est sans but et coûteux, constitue en soi un risque majeur pour l’organisation.

La nécessité d'un système de gestion des risques efficace et intégré dans les pratiques quotidiennes de l'organisation est essentielle au succès. Bien que toutes les parties prenantes aient un rôle à jouer dans la gestion des risques, la haute hiérarchie et les responsables de la gestion ont la responsabilité ultime de bâtir une culture du risque positive et de mettre en place un personnel conscient des risques. L'engagement de la direction  à changer la perception que les parties prenantes ont de la gestion et du contrôle des risques est primordial.

Ken Ofori Atta

Le partenariat entre le Ghana et l'ACBF est une formidable bénédiction pour nous et l'occasion pour le Ghana d'accueillir la 26e Session du Conseil des Gouverneurs de l'ACBF est donc une chose qui nous tient à cœur.


Honorable Ken Ofori Atta, Ministre des Finances du Ghana et actuel Président du Conseil des Gouverneurs de l'ACBF
Goodall Gondwe

L'Afrique a autant besoin de l'ACBF maintenant qu'au moment de sa création en 1991, et probablement plus.


Honorable Goodall Gondwe, ancien Président du Conseil des Gouverneurs de l'ACBF et Ministre des Finances du Malawi
Lamin Momodou

À notre avis, les réalisations remarquables de l'ACBF au cours des 26 dernières années ne sont pas fortuites. Elles sont le fruit d’un travail acharné, du dévouement, de l’engagement, d’un leadership déterminé, de l’appui des pays membres et d’un partenariat productif.


M. Lamin Momodou MANNEH, Directeur du Centre de service régional du PNUD pour l'Afrique
Erastus Mwencha

La reconnaissance de l'ACBF comme Agence spécialisée de l'Union africaine pour le renforcement des capacités inaugure une nouvelle ère de renforcement des capacités par l'ACBF qui nécessitera un niveau d'engagement politique et un soutien financier appropriés de la part de toutes les parties prenantes.


S.E. Erastus Mwencha, Président du Conseil d’administration de l'ACBF
Thomas Kwesi Quartey

L'ACBF a reçu le statut d'agence spécialisée en raison de son potentiel de transformation de l'Afrique par le renforcement des capacités.


S.E. Thomas Kwesi Quartey, vice-président de la Commission de l'UA
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