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L’ACBF se révèle un partenaire précieux au Programme australien AACES

01 mai, 2015

L’appui de la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (ACBF) dans la facilitation des ressources au Plan d’action Communautaire australo-africain (AACES) a joué  un rôle central dans la réussite du programme AACES.

Le ministère des Affaires étrangères et du Commerce (DFAT) a récemment fait une évaluation de performance de l’appui de l'ACBF à l’AACES en 2014 quant à la gestion de ses programmes dans 11 pays africains. Le ministère a souligné l'excellente aptitude au renforcement des capacités de la Fondation dans la conduite du programme vers son succès.

Le rôle de l'ACBF en tant que facilitateur de ressources a été de fournir un appui logistique, administratif et technique rapide, efficient et efficace à l’AACES. À cet égard, le facilitateur de ressources a appuyé la communication, la coordination et la gestion de l’AACES.

Depuis son lancement en 2012, le programme AACES a bénéficié à 1 287 888 personnes. De ce nombre, plus de 248 650 personnes ont bénéficié des services de santé maternelle et infantile, plus de 337 900 ont connu une amélioration de leur productivité agricole tandis que 638 210 ont maintenant accès à des services d'eau, d'assainissement et d'hygiène.

Le programme se concentre sur les communautés marginalisées, accordant une attention particulière aux femmes, aux enfants, aux personnes handicapées et aux personnes vulnérables aux catastrophes. Il est mis en œuvre dans les pays suivants: Éthiopie, Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Rwanda, Afrique du Sud, Tanzanie, Ouganda, Zambie et Zimbabwe.

L'ACBF a contribué à établir une confiance mutuelle entre les partenaires, permettant une communication et une collaboration efficaces entre les organisations non gouvernementales (ONG) au titre de ce programme. La culture de collaboration, maintenant enchâssée dans l'AACES, est un élément clé d'un programme efficace produisant des résultats probants.

L’ACBF a également mené deux enquêtes de partenariat qui ont reconnu le partenariat comme étant une composante essentielle de l’AACES. Les enquêtes ont identifié des domaines dans lesquels les partenaires désiraient voir des améliorations. Par exemple, les résultats de l'enquête de 2013 sur le partenariat ont indiqué que les ONG africaines voulaient un plus grand appui au développement du leadership et des stratégies. Suite à cela, le personnel des ONG a été encouragé et appuyé pour assumer des rôles de leadership au sein du Comité directeur du Programme AACES et d'autres forums.

L’ACBF a également géré et appuyé les diverses relations au sein du partenariat de l’AACES, entraînant une amélioration de la communication entre les ONG et l’AACES dans le renforcement général du modèle de partenariat de l’AACES. A titre d'illustration, le développement et la gestion de Yammer (une plate-forme de communication en ligne partagée) a facilité la communication ouverte et régulière entre les partenaires.

L'ACBF également amélioré la visibilité du travail de l’AACES durant les dernières années. Le facilitateur des ressources a produit à ce jour trois rapports annuels de haute qualité pour l’AACES, qui ont informé adéquatement les partenaires sur les réalisations du programme. L'ACBF a également appuyé le lancement et la diffusion du rapport annuel par la promotion de communiqués de presse ciblés, la création d’un lien virtuel au rapport avec les sites du DFAT, de l’ACBF et des ONG.

Un appui ciblé a également été fourni aux ONG de l’AACES pour lancer le rapport dans leurs pays respectifs. L'utilisation innovante de communiqués de presse en ligne sur le site de l'ACBF en vue de partager  ces communiqués au public ciblé dans le monde entier au moyen d’un certain nombre de protocoles et de technologies Internet, a donné lieu à une couverture médiatique et une visibilité accrues de l’AACES.

L'ACBF a également favorisé activement la visibilité des projets de développement financés par le gouvernement australien à travers la couverture médiatique des événements de l’AACES telles que des visites sur le terrain par le Haut-Commissaire australien et des officiels du DFAT. Elle a également contribué à renforcer les capacités de communication des partenaires de l’AACES par la formation à la photographie, aux techniques d'écriture, et à la documentation.

Dans d'autres domaines, l'ACBF a apporté une contribution technique à des ateliers thématiques sur les thèmes prioritaires de l’AACES tels que le handicap, la durabilité, le genre, l'optimisation des ressources et le suivi et l'évaluation. Ces ateliers ont fourni aux ONG de l’AACES des occasions d'apprendre et de partager les approches pour améliorer leur travail. L'apprentissage et le partage a également été améliorés grâce à Yammer, une plate-forme de communication commune qui prend en charge la communication en ligne, le partage d'expériences et la diffusion des ressources entre les partenaires de l’AACES, et qui est particulièrement appréciée par les partenaires africains.

Pour augmenter le partage des connaissances, l'ACBF a également ouvert sa bibliothèque virtuelle aux partenaires de l’AACES. Grâce à la bibliothèque, les partenaires de l’AACES sont maintenant en mesure d'accéder en ligne aux ressources de connaissances sur le renforcement des capacités et d'autres sujets de développement.

L'ACBF a été contractée en janvier 2012 par le gouvernement australien en tant que facilitateur des ressources pour le programme AACES. L’AACES est un partenariat entre le gouvernement australien, dix ONG australiennes et leurs partenaires basés en Afrique. Ce programme de 90 millions de dollars australien est financé par le gouvernement australien à travers son DFAT.

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