Domaines des besoins en capacités | Très bas | Bas | Moyen | Elevé | Très élevé | |
Lutte contre les flux financiers illicites | 6.8 | 13.6 | 22.7 | 40.9 | 15.9 | |
Collecte des recettes | 2.3 | 13.6 | 31.8 | 38.6 | 13.6 | |
Viabilité fiscale | 2.3 | 7.0 | 44.2 | 46.5 | ||
Renforcement du secteur financier | 4.7 | 48.8 | 41.9 | 4.7 | ||
Lutte contre la corruption | 4.6 | 11.4 | 29.6 | 38.6 | ||
Sécurité et protection sociales | 4.7 | 25.6 | 30.2 | 34.9 | 4.7 |
- d’avoir des réformes des systèmes juridiques visant à la réforme du droit, en particulier là où les lois sont insuffi santes ou fonctionnent mal ;
- de réduire la criminalité et les activités criminelles de toutes sortes ;
- d’entreprendre des réformes dans les domaines des marchés fi scaux, bancaires et des capitaux ;
- d’avoir des lois et règlements flexibles mais efficaces pour accéder aux sources non traditionnelles de financement et pour freiner les FFI et
- de travailler davantage sur les réformes fiscales qui assureront l’harmonisation fiscale et l’abandon des exonérations fiscales, des concessions et des jours fériés.
- la Commission de l’Union africaine et ses organes (en particulier ceux qui traitent des questions juridiques, d’audit, de fiscalité et parlementaires connexes).
- les institutions spécialisées telles que l’ACBF, la Banque africaine de développement (BAD), le Forum africain sur l’administration fiscale (ATAF), l’Initiative africaine concertée sur la réforme du budget (CABRI) et la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA).
- Les Communautés économiques régionales (CER), spécialement celles reconnues par l’UA, qui joueront un grand rôle au niveau régional dans la chaîne de MRI.
- Les autorités nationales de l’administration fiscale et des recettes.