Chers amis
Bienvenue à la cinquième édition des Capacités africaines.
L’ACBF reconnaît l’importance des partenariats dans le renforcement des capacités en Afrique. En septembre, la Fondation et le département australiens des Affaires étrangères (DFAT) ont noué un partenariat avec le programme de mobilisation communautaire Australie – Afrique (AACES) en vue de renforcer le partage de connaissances et l’apprentissage. Les deux organisations ont reconnu qu’il existe d’autres possibilités de collaboration étroite dans la mise en œuvre du projet AACES et d’autres initiatives de développement du gouvernement australien en Afrique.
L’ACBF a pris part aux réunions annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international à Washington D.C., du 11 au 13 octobre 2014. La mission a été l’occasion de discuter avec les responsables de la banque aux plans des opérations et des conseils et de leur faire le point de la situation des opérations de la Fondation, notamment la mise en œuvre de sa série de réformes. À ce jour, cette dernière a appliqué les réformes qui se sont traduites par une organisation plus déterminée, efficiente et mieux gouvernée et qui accorde une attention particulière aux résultats et à sa pérennité.
Le sommet annuel 2014 du groupe des 20 économies développées et émergentes (G20) a eu lieu en novembre dans la ville australienne de Brisbane. L’organisation a abordé cette année les défis mondiaux de la croissance de manière ambitieuse significative, en mettant l’accent, entre autres, sur les moyens à consacrer au développement de manière à ce que les pays en développement puissent attirer des investissements pour les infrastructures, renforcer leur assiette fiscale et améliorer l’accès des populations aux services financiers. Parmi les préoccupations de l’Afrique figure la faible représentation du continent au sommet. L’Afrique du Sud étant son seul membre, ce qui veut dire que les points de vue de l’Afrique ne sont pas suffisamment pris en compte et que les engagements du G20 à l’égard du continent ne sont pas toujours tenus. L’Afrique se doit au sommet de convaincre l’organisation de prendre en compte ses principales préoccupations, notamment le renforcement de la capacité productive, l’accroissement de la productivité, les facteurs de valorisation et l’industrialisation accélérée.
L’ACBF a été déterminante dans l’inscription du renforcement des capacités au centre des priorités de développement de l’Afrique. À cet égard, elle a atteint des résultats tangibles à travers le continent. Le renforcement des capacités est donc devenu aujourd’hui une des priorités des stratégies de développement de la plupart des pays africains. La Fondation s’est faite le champion du renforcement des capacités humaines et institutionnelles dans le secteur public et à l’intention des acteurs non étatiques. Elle publie le Rapport sur les capacités africaines (anciennement, Rapport sur les indicateurs africains des capacités), un rapport qui évalue l’état du renforcement des capacités sur le continent et traite d’un thème lié aux capacités et d’importance capitale. Le RCA 2014 traite du renforcement des capacités en vue d’accélérer l’intégration régionale en Afrique.
Le Rapport 2013 sur les indicateurs africains des capacités produit par l’ACBF peut être téléchargé gratuitement sur son site Web www.acbf–pact.org/rica2013 Les numéros précédents (2012 et 2011) sont également disponibles.
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